ETRA ART E è un concetto che prende forma in un Art MAGAzine... Artisti, Teorici, Autori, Designer, Creativi, sono invitati a contribuire ad un'atmosfera che capovolge ogni volta il tema trattato.

INVIATECI I VOSTRI CONCETTI GRAFICI, PARLATECI DEI VOSTRI PROGETTI CREATIVI, SEGNALATECI GLI EVENTI CHE PIU' VI SEMBRANO INTERESSANTI E COINVOLGENTI.

La redazione di Etraarte ricerca collaboratori che hanno voglia come noi di partecipare, sviluppare ed arricchire con nuove idee, progetti questo giovane progetto editoriale.
In particolare siamo alla ricerca di gente attiva e spontanea da qualsiasi parte del mondo che abbia voglia di parlare, scrivere, creare nuovi contenuti che, con i più diversi linguaggi espressivi siano culturalmente validi a continuare un confronto tra chi crede che la creatività sia un mezzo per vivere meglio.





venerdì 29 marzo 2013

FILM MiddlEastNow dal 3/8 Aprile 2013

Dal 3 all’8 aprile a Firenze torna protagonista il Medio Oriente, attraverso cinema, documentari, arti visive, eventi culinari, incontri e progetti speciali. Tra Cinema Odeon, Auditorium Stensen e altre location della città, va in scena la quarta edizione di Film Middle East Now, il festival internazionale ideato e organizzato dall’associazione culturale ‘Map of Creation’, che racconta le mille facce di una realtà vicina ma ben poco conosciuta in Italia e in Europa.




 www.middleastnow.it/
www.middleastnow.it/

mercoledì 15 ottobre 2008

Entretien avec Zoé Gruni

Vernissage jeudi 23 octobre 2008
à partir de 18h.
En présence de l'artiste

exposition jusqu'au 28 novembre 2008
Commissaire d'exposition : Enrico Pedrini



Enrico Pedrini : Ce n'est plus tant à la pensée humaine d'envisager l'analyse en détail des contenus de la pensée même (ce qu'en Art on désigne comme Conceptuel), mais plutôt de participer à la vie des choses et des événements. Se mettant à l'écoute des choses, l'homme s'expose à elles plus qu'il ne s'impose. Cela lui vient de la recherche d'un nouveau désir d'identité, d'appartenance à un contexte de territoire et de culture. Par sa vitalité, un artiste cherche donc à résister, par son travail, à un monde qui veut le rejeter comme présence et richesse humaine. Sa pensée sera donc le lieu d'une variété de traces, de cas, qui coexistent tout en "se partageant". Quelles sont les raisons qui t'ont poussée vers un travail comme le tien ?

Zoé Gruni : Plus qu'à des raisons je pourrais dire que je répondais à des urgences. J'ai commencé mon travail artistique pendant l'adolescence, d'une façon très instinctive, presque brutale. Il s'agit certainement d'une réaction (probablement inconsciente) à l'homologation débordante. Ma réponse ne pouvait qu'être une réflexion intime sur l'identité et sur la mémoire.

E.P. : Les médias électroniques ont sans doute modifié en profondeur les caractéristiques d'un lieu et de son espace. Tandis qu'ils changent les caractères informatifs de l'endroit, les médias remodèlent les situations et les modalités sociales, tout en amoindrissant la valeur des lieux comme systèmes surs de renseignements. Par conséquent chaque individu semble jouer plusieurs rôles sur des scènes différentes, donnant à chaque public une vision différente.
Cette exigence de t'exprimer par des langages divers, comme la performance, la photographie, les objets et les vidéos te vient-elle de cette aptitude à la multimédialité ?

Z.G. : La multimédialité de mon travail me vient de l'exigence de le raconter depuis des points de vue différents, non pas d'un seul, étant donné la présence active du corps de l'œuvre. Donc les moyens différents servent, en des phases différentes, à exprimer la même chose. Le dessin comme l'idée, la sculpture comme la matrice, la performance comme l'action et, par conséquent, la vidéo comme instrument de documentation et la photographie comme image finale.

E.P. : Ton travail me fait penser à un événement qui avait lieu en Toscane, lors des siècles passés et qu'on nommait Veglia. Les paysans se réunissaient de temps à autre dans les fermes diverses où ils donnaient vie à une réunion conviviale structurée en trois phases : dans la première partie de la Veglia, les participants débattaient les problèmes réels et pratiques de leur travail ; la deuxième partie était une concours entre ceux qui arrivaient à se moquer avec le plus d'intelligence et de ruse des divers personnages du village ; la troisième et dernière partie de cette rencontre devenait une vraie compétition entre ceux qui déclamaient le mieux les poésies des divers auteurs, tels que Dante Alighieri, Petrarca, Boccaccio, etc. Il s'agissait donc d'une sorte de performance de déclamations collectives interdisciplinaires, riche en interactions. Ton travail me parait lié à cet esprit de liberté multiculturelle, qui est une caractéristique toscane.
Quels sont les points de contact entre la Veglia et les langages de ton œuvre ?


Z.G. : Il y a plusieurs points de rencontre, par exemple, le travail manuel et le choix d'une matière pauvre et fonctionnelle, le chanvre, qui offre des ressources infinies et que, comme le porc, on utilise tout-entier. Un matériau qui passe de deux à trois dimensions, lorsqu'il épouse la forme d'un corps, jusqu'à devenir une vraie personnalité, parfois reconnaissable (évêque, guerrier, épouse, juge...). Des personnages interchangeables que l'on endosse et qui ont besoin de se raconter par des moyens et des langages différents. Ce n'est pas par hasard si, suivant leur propre évolution naturelle, les œuvres sont devenues spectacle. Il était devenu nécessaire de partager, d'échanger, de participer.
Dans le spectacle "Entretien avec la pierre" (Roselle, Grosseto 2007) réalisé dans une vieille carrière abandonnée, les sculptures (rapportées à la musique et au théâtre) jouaient toutes entourées par le public (comme dans le Metato) pendant qu'une actrice déclamait des poésies.

E.P. : Ton activité est très significative soit par l'attachement à tes racines culturelles qu'à la nature et au corps. Ton engagement physique s'exprime par une expression originale toujours reconnaissable, où des multiples éléments entrent en scène et interagissent.
Peux-tu m'apporter une clarification à propos des dispositifs à travers lesquels tu formule tes images ?

Z.G.: L'image n'est jamais tout-à-fait claire pour commencer. Elle part souvent d'une implication émotive, que ce soit une forme, une atmosphère, une vicissitude intime, une expérience, un voyage, une nouvelle... Mon désir de communiquer avec les autres me porte à fondre les images subjectives de ma mémoire avec les formes "communes" de la mémoire collective. J'expérimente avec le corps, je m'incorpore à l'image pour la délivrer ensuite dans l'espace. C'est le seul instant où j'ai l'illusion d'arriver à mettre un peu de synthèse dans mon chaos.

Galerie Depardieu
64 boulevard Risso - 06300 Nice – France
Tél +33 0 497 121 299 -

lunedì 6 ottobre 2008

Lungimirante


LUNGIMIRANTE
Visions and words in exercise

A strange couple Lungi (aka Tommaso Awerbuch) + Mirante (aka Giacomo Benelli), searching unexpected links between words and images.

Who do we think we are?
Men.

First project: “Love Box“ , it is a personal, secret place. Nobody knows where is your “Love Box” except you and everyone you want to join it.
Attetion: In the “Love Box” there isn't any cell phone coverage.


Second project: Fanta Santorum – anteprima.

Se c’è un’estasi del martirio deve esserci allora anche un’estetica.
E forse anche un’estetista martire.
Una collezione di martiri estetici formato santino, e nessuno si offenda, per favore, è solo moda.
Anteprima: San Sebastiano.

Concept: Mirante (aka Giacomo Benelli)
Photos: Lungi (aka Tommaso Awerbuch)
www.lungimirante.com

www.lungimirante.com

sabato 4 ottobre 2008

Eppi Femili

REGIONE TOSCANA – SCANDICCI CULTURA – COMPAGNIA KRYPTON

EPPI FEMILI

(la famiglia felice)

cinque appuntamenti con il video

per l’interpretazione della famiglia contemporanea

ogni lunedì, dal 13 ottobre al 10 novembre, alle 21.15

Teatro Studio, Scandicci - Firenze

ingresso libero

un progetto di Pietro Gaglianò

con Andrea Bruciati, Cecilia Canziani, Lorenzo Giusti, Norma Mangione, Helga Marsala


figli - lunedì 13 ottobre
Lorenzo Giusti presenta le opere di
Elena Arzuffi, Adrian Paci, Pleix Collective, Marcella Vanzo
artista toscano Giovanni Ozzola


madri - lunedì 20 ottobre

Norma Mangione presenta le opere di
Maggie Cardelùs, Mona Hatoum, Annika Ström, Marcella Vanzo, Bill Viola
artista toscano Jacopo Miliani


fratelli e sorelle - lunedì 27 ottobre
Helga Marsala presenta le opere di
Marzia Migliora, Robert Morgan, Valerio Rocco Orlando, Salla Tykka
artista toscano Leonora Bisagno


padri – lunedì 3 novembre

Cecilia Canziani presenta le opere di...
artista toscano Francesca Banchelli


mariti, mogli, compagni, amanti - lunedì 10 novembre
Andrea Bruciati presenta le opere di
Yuri Ancarani, Klaus Pobitzer, Italo Zuffi
artista toscano Michelangelo Consani

con il supporto di
Regione Toscana
- Scandicci Cultura - Compagnia Krypton
progetto RRR 6808 per una rete regionale delle culture della contemporaneità (LR n.33/05)

_____________________________________________

TEATRO STUDIO, via Donizetti 58, Scandicci – Firenze

info 0557591591/592/593

www.scandiccicultura.it

www.myspace.com/eppifemili

martedì 23 settembre 2008

RICICLO D'AUTORE


RICICLO D'AUTORE
In sessanta opere tutta l’arte del riciclo

Una mostra curata da Eugenio Cecioni con opere realizzate dalla collaborazione fra il Gruppo Ecolevante, Edoardo Malagigi e Angela Nocentini e studenti dell’Accademia delle Belle Arti di Firenze.

Villa Pacchiani Santa Croce sull’Arno (Pisa)
21 settembre - 18 ottobre
Orario d'apertura 16,00 - 19,00.
Chisuso il lunedi


Rifiuti da design. Sessanta opere in mostra per dimostrare che ci sono rifiuti capaci di una seconda vita, anche più affascinante della prima.

L’iniziativa è del Gruppo Ecolevante di Santa Croce sull’Arno - un pool di aziende che nel mondo dei rifiuti lavora davvero, con particolare attenzione alle nuove frontiere del recupero e riciclo - in collaborazione con docenti e studenti dell’Accademia delle Belle Arti di Firenze.

Da questa sinergia nasce “SCART” - la mostra che apre domenica 21 settembre negli spazi espositivi del centro attività espressive di Villa Pacchiani a Santa Croce dove resterà allestita fino al 18 ottobre - per guardare l‘altro volto, utilizzando il linguaggio dell’arte, di tante cose che consideriamo da buttare. Quello utile e bello: componenti d’arredo e abiti che niente hanno da invidiare alla perfezione degli oggetti di serie destinati al consumo di massa; una sedia realizzata con una finestra, il divanetto realizzato con i carrelli del supermercato, l’appendiabiti fatto con la marmitta di un camion, le lampade con i distanziali dei lavori in corso e barattoli di pomodori pelati. Opere, appunto, dalla dignità dell’arte, che fondono passato e presente in assemblaggi originali, e mai scontati.

Ecolevante ha aperto le sue porte a studenti e docenti dell’Accademia fiorentina. Loro hanno rovistato, pensato, immaginato, un altro futuro per questi oggetti. Li hanno riletti ed interpretati, capiti ed impreziositi, non con un'operazione di banale riciclaggio, ma tentando di fondere due "mondi", due tempi, per prelevare le parti migliori di ciascuno. La mostra - unica nel suo genere a livello nazionale, proprio perché frutto della collaborazione tra l’università e un’azienda privata - rappresenta un nuovo e coraggioso linguaggio espressivo, e un approccio diverso, pur giocoso e libero come l’arte, a temi e problematiche ambientali.

La mostra - patrocinata dalla Regione Toscana, dalla Provincia di Pisa, dal Comune di Santa Croce sull’Arno, dalla Fondazione Cassa di Risparmio di San Miniato e dal Gruppo Carismi - è corredata da un ampio catalogo curato da Eugenio Cecioni, direttore di Villa Pacchiani.

sabato 26 luglio 2008

T(h)rees


T(h)rees

3 installazioni sulla montagna pistoiese
Inaugurazione giovedi 7 agosto 2008, ore 18:00 Palazzo Achilli, Gavinana - Pistoia

Comunicato Stampa:

Per il Punto Informativo dell'Ecomuseo della Montagna Pistoiese, che Giovedì 7 Agosto alle ore 18.00 inaugurerà i nuovi spazi dedicati a mostre temporanee e all’archivio sonoro, il videoartista Andrea Betti ha progettato per il secondo piano una serie di ambienti suggestivi, tematici ed erranti (come è del resto la natura stessa, in divenire, dell'ecomuseo, con i suoi molti percorsi da esplorare camminando per le località montane)
Avendo a disposizione 3 sale all'ultimo piano del rigenerato Palazzo Achilli a Gavinana, in ognuna di esse ha creato col prezioso contributo del pittore Marcello Giannini e della performer\artista Zoè Gruni, 3 situazioni incantate, dove per incanto s'intende quel ripetersi continuo e senza tempo di gesti, suoni, movimenti che suggeriscono la natura incontaminata dei boschi e il rinnovarsi delle antiche tradizioni, mestieri, usanze e ritmi di vita che possiamo ancor oggi respirare nei nostri borghi montani.
Nella sala principale ha "incantato" il sentiero, gli animali e la donna (che è anche il simbolo dell'ecomuseo, la contadina con il grosso cesto sul capo, il cavagno, utilizzato un tempo per portare ghiaccio o foglie di castagno) proiettando 3 filmati in loop dedicati a ciascuno di questi: la donna della montagna (che ha il bel volto e la bella voce di Rebecca Scorcelletti) incede cantando senza fermarsi mai, trasformandosi in strega, in contadina, in madonna... le creature dei boschi sul lato opposto contrappuntano silenziose la sua marcia senza fine, mentre sul pavimento sopra un grande tappeto di juta realizzato dall'artista Zoè Gruni, è proiettato in continuo divenire il "sentiero", sommario intricato delle mulattiere, dei passi, dei crinali e dei torrenti che erano collegamento e fonte di scambio e di vita fra i vari borghi.
La piccola sala a sinistra è dedicata ai suoni del bosco: progettata con l'artista Marcello Giannini e sonorizzata da Gianluca Masala, questa sala è un altro luogo incantato dove un gioco di luci e suoni della natura interagisce creando l'illusione del trascorrere del giorno e la notte.
L'ultima sala sulla destra è dedicata invece alla vita della montagna: ponendo alcuni oggetti-simbolo sopra una zona sensibile sarà possibile vedere i video ad essi correlati (sulla lavorazione del ghiaccio, della pietra, del ferro, sulla vita quotidiana e la religiosità popolare)
Un ambiente da esplorare, dice l’artista Andrea Betti, realizzato grazie anche al prezioso contributo tecnico di Rolando Goretti e dell'architetto Schiavoni e sulle suggestioni di grandi amanti della montagna come Manuela Geri e Marco Tempestini, che hanno indicato la giusta via perchè si sa esplorando i monti, non essendoci nati, è facile anche perdersi.

giovedì 24 luglio 2008

I LUOGHI DELL'UTOPIA_inaugurazione sab 26 luglio













Villa Borbone - Viale dei Tigli - Viareggio
26 Luglio - 24 Agosto 2008
18,00-23,00 lunedì e martedì chiuso
Ingresso libero

ESPOSIZIONI

In mostra opere di: Paolo Albani / Fernando Andolcetti / Vittore Baroni / Dario Barsottelli / Carlo Battisti / Anna Boschi / Antonino Bove / Luca Brocchini / Gianni Broi / Cosimo Cimino / Teresa Cinque / Cobàs / Mario Commone / GianLuca Cupisti / Jakob De Chirico / Gabriele Dini / Delio Gennai / Emanuele Giannelli / Cecilia Guastaroba / Gumdesign / I Santini Del Prete / Alessio Larocchi / Les Liens Invisibles / Tania Lorandi e The Big Bosse de Nage / Marco Maffei / Ruggero Maggi / Veronica Marchetti e Arturo Lini / Lorenzo Mazza / Sergio Mazzanti / Giancarlo Micheli / Monica Michelotti / Micrqcosmo / Massimo Mori / Giorgia OLM / Stefano Paolicchi / Vieri Parenti / Massimo Pasca / Maximo Pellegrinetti / Massimiliano Pelletti / Mirco Piccioli / Giorgio Poli / Paolo Pratali / Alessandro Ratti / Carla Sanguineti / Alessandro Traina.

La Biblioteca Utopica: installazione interattiva di libri d’artista di oltre 100 autori internazionali a cura di Vittore Baroni.

The Invisible City: esplorazioni ciclo-podistiche per un laboratorio psico-geografico a cura di Paolo Emilio Antognoli.

Movimento delle Immagini / Immagini del Movimento: spazio per proiezioni no-stop di video a tema utopico.

BAU Contenitore di Cultura Contemporanea: BAU da 0 a 5, cinque anni di esperienze.


EVENTI

Sabato 26 Luglio
19,30-21,00 - AVVISTAMENTI DEL FUTURO
Inaugurazione della rassegna e performance nel parco con Paolo Albani, Adolfina De Stefani, Paola Lazzari, Marcella Malfatti, Emilio e Franca Morandi, Sabina Romanin, Ivano Vitali.

Sabato 2 Agosto
18,30-20,30 - LE IRRAGIONEVOLI RAGIONI DEL CUORE
Recital poetico-letterario a cura dell’Atelier Culturale “Ermione”, regia di Iolanda Sarzi.
21,00-23,00 - LA STANZA DEL POETA E I PAESAGGI DI DESIDERIO
Incontro con i poeti Alessandro Agostinelli, Stefano Busellato, Gianluca Cupisti, Giuseppe Cordoni, Arturo Lini, Francesco Macciò, Giancarlo Micheli, Angelo Tonelli, Vivetta Valacca, Gabriella Valera Gruber; letture di Paola Lazzari.

Sabato 9 Agosto
18,30-20,00 - LA COMMESTIBILITÀ DELL’ARTE
Per un dialogo nell’arte e nella cultura contemporanea, gli autori di BAU si confrontano tra di loro e col pubblico. Ospiti: Eleonora Acerbi, Paolo Emilio Antognoli, Mara Borzone, Maria Mancini, Laura Mare, Antonella Serafini.
20,00-22,00 - PIETANZE D’ARTISTA
Gli autori di BAU offrono ai presenti singolari “cibi d’artista”. Intervengono in performance gastronomiche I Santini Del Prete, Peter Netmail Küstermann, Marco Maffei, Monica Michelotti e Cobàs, Vieri Parenti e altri. Incontro con lo chef Amelio Fantoni.

Sabato 16 Agosto
18,30-20,30 - UTOPIE POLITICHE
Presentazione a cura di Marcella Malfatti del romanzo di Giulio Marlia La vita sognata (Marco Del Bucchia Editore, 2008), sulle vicende politico-sentimentali di un “ragazzo del ’68”. Intervengono all’incontro l’autore e Pier Marco De Santi (Università di Pisa).
20,30-23,00 - EFFETTO ZOOM: LA LUNGA NOTTE DEI CORTI
La performance KLEINERIE n°1 (ore 21,30) del gruppo EFFETTOZOMA, tributo a Yves Klein nell’ottantesimo anno dalla nascita, è preceduta e seguita da una maratona di video e corti d’artista: Carlo Battisti, Antonino Bove e Gianni Broi, GianLuca Cupisti, Gabriele Dini, Ex, Gruppo Sinestetico, Impossible Sites, I Santini Del Prete, Ruggero Maggi, Lorenzo Mazza, Giancarlo Micheli, Massimo Mori, Roberto Rossini e altri. A conclusione un brindisi per Percy B. Shelley.

Sabato 23 Agosto
18,00-20,00 - UTOPIA E ROMANZO: OMAGGIO A CARLO ALBERTO MADRIGNANI
Colloquio sul ruolo dell'utopia nella letteratura contemporanea a cura di Luigi Lazzerini. Intervengono Giuseppe Lo Castro (Università della Calabria) e Carla Benedetti (Università di Pisa).
21,00-22,00 - LE CITTÀ SEPARATE
Reading del poeta Roberto Amato, scenografie di Carlo Battisti.
22,00-23,00 - TEMPO SCADUTO
Proiezione del film utopico di Abel Gance La fin du monde (1933).

col patrocinio dell’Assessorato alla Cultura del Comune di Viareggio
un laboratorio della creatività a cura dell’associazione culturale BAU
www.bauprogetto.it

martedì 8 luglio 2008

STUDENTI ECCELLENTI


Prende avvio, con la presente mostra, un ciclo espositivo dedicato agli studenti eccellenti dell’Accademia di Belle Arti di Firenze.
Così come nell’università l’eccellenza degli studi viene premiata con la pubblicazione della tesi di laurea, altrettanto in Accademia viene offerta agli studenti artisticamente meritevoli, a conclusione della formazione curricolare, una mostra che, da un lato, rappresenta un attestato di riconoscimento ufficiale con relativa presentazione alla città, e, dall’altro, intende essere un primo atto di promozione della professionalità che per l’artista s’incarna principalmente nell’attività espositiva.
Un gesto dunque con il quale l’Accademia di Belle Arti di Firenze garantisce una sorta di “marchio di qualità” alle proprie eccellenze, auspicando e favorendo al contempo, in maniera concreta, l’ingresso dei giovani diplomati nel complesso mondo dell’arte, che pare troppo spesso preoccupato delle certezze del mercato e piuttosto refrattario ad investire sui giovani artisti brillanti che emergono dalle Accademie di Belle Arti, magari dopo anni di impegno profondo e di duro lavoro.
E’ in tale ottica che il neo Presidente dell’Accademia, cav. Paolo Targetti, ha inteso caratterizzare il proprio programma triennale rilanciando, tra l’altro, il progetto di un “nuovo mecenatismo” che coinvolga le istituzioni pubbliche e private, musei e centri culturali, perfino singoli cittadini, perché tornino a guardare all’arte e ai giovani artisti come interpreti di una riqualificazione estetica delle città, degli ambienti e della qualità della vita.
Non senza significato l’iniziativa si realizza con la collaborazione dell’Accademia delle Arti del Disegno, che fra le istituzioni artistiche fiorentine è tra le poche assolutamente sensibile alla promozione dei giovani artisti, recepita nel proprio Statuto. Una specifica convenzione fra le due Accademie assicura la disponibilità della sala delle esposizioni di via Ricasoli, due volte all’anno, una delle quali proprio per lo svolgimento del ciclo di mostre degli studenti eccellenti.

L’esposizione, promossa dal Consiglio Accademico, è curata da una commissione composta da Rosella Alberti, Andrea Granchi e Giuliana Videtta.
Per l’occasione sarà edito un catalogo per i tipi della casa editrice Mozzon-Giuntina Spa.


Inaugurazione:
Martedì 8 febbraio 2008 ore 18.00
Sala Esposizioni dell’Accademia delle Arti del Disegno
Via Ricasoli 68, Firenze